Appréciations des lecteurs :

Un livre magique, à découvrir !!!

J'adore. Style hyper speed, lecture super facile, syntaxe au top, humour, alternance de légèreté et de gravité...

C'est top, profond et un brin magique. Belle leçon de vie et messages limite subliminaux dans le bon sens du terme ! Un beau mélange de philosophie, de géographie, d'histoire et de science.

Chantale de S. :

Un livre fantastique à lire !

Puissiez-vous, tout comme moi, partir à l'aventure dans l'Univers de Yann Yoro.

Sa plume est INCROYABLE!!!

Ses personnages...sublimes...

Vraiment, je savoure chaque seconde...

Je n'ai jamais pris autant de temps pour lire un livre. J'en reviens pas. Les mémoires de vie antérieur qui surgissent comme ça en lisant un roman, c'est pas banal !..

Chaque seconde est un moment de Grâce ! Chaque personnage... sublime !!! ♥ ♥ ♥ ...

Indiana V. :

Nous n'avons pas encore franchi l'année 2012 au Pérou , alors j'en profite pour te féliciter pour ton livre . Il m'a accompagnée tout le long de mon voyage et ce fut un réel plaisir que de te lire. Beaucoup d'émotions à travers ton écriture ... je t'en remercie ! Tu as un réel talent et un si grand humanisme , vraiment !

Bravo Yann et tous mes voeux de réussite pour le Tome 2 en 2012 !!! ♥

Sofiane B. :

Si vous avez aimé Héros, 24 heures, Matrix, l’Iliade, la Seigneur des anneaux, Indianas Jones, Invictus mais aussi la Bible le Coran et la Torah, voila le roman qui changera tout. On dirait que l'auteur a réussi à mettre Einstein et R. R. Tolkien à la même plume pour écrire ce livre avec une honnêteté intellectuelle qu’envierait un Dan Brown.

Yann tu es un sacré conteur Homere aurait adoré te connaitre j'ai eu plus de chance que lui...

Isabelle de H. :

Retour mérité, ton livre est d'une extrême intelligence... J'aime beaucoup... Vraiment… Quel travail !!!...

Lien partagé et au plaisir de te rencontrer…

Belle journée à toi…

 

Frédéric M. :

Je viens de terminer ces quatorze secondes qui s'ouvrent comme un ventre, comme un coeur, comme un corps. Et de la tension naît l'illumination. Comme dans les romans de Jules Verne, les mots créent le monde et précèdent la réalité. On revit, ou l'on se rappelle que l'on est vivant.

Pour terminer sache qu'à certains moments de la lecture, les plus forts ou les plus particuliers, une odeur d'encens envahissait mon appartement. Et ça n'était pas arrivé depuis longtemps.

El Hombre Rojo :

Merci à toi Yann Yoro, ton livre est un merveilleux cadeau...

Comme un beau voyage , on aimerait que jamais il ne se termine !!!

Chantale a très bien commenté, c'est une aventure dans ton Univers, dans notre Univers, un magnifique voyage à travers le corps, l'humain, la planète, l'Univers... délicieusement bien écrit...

Je le recommande très chaudement à tous mes amis ♥

 

Yann YORO :

« « 28 secondes en 2012 » est plus puissant qu’un réacteur atomique. Mais au lieu d’utiliser la fission nucléaire, ce roman manie la fusion de l’Univers. »
;-)
01.01.2012

Bonjour cher Gérard,
Écrire un (premier) roman n'est certes pas chose aisée - bien que passionnante -, surtout pour un «scientifique». Rédiger une critique objective sur le travail d'une bonne connaissance ne doit pas l'être beaucoup plus.
Je dois t'avouer que tu as réussi ce que j'attendais depuis longtemps, à mettre un peu de piment dans l'agréable onctuosité des retours habituels ;-) Je t'en remercie.
Bien entendu, les fils rouges de ce roman nécessitent d'être suivis jusqu'à la 28e seconde afin que soit dévoilée la mosaïque dans son ensemble ; et, comme je te l'ai dit en mp, cette image du puzzle n'a effectivement cessé de m'accompagner tout au long de mon travail, et à chacune des secondes apparaissait un nouveau canevas...
J'espère que tu seras convaincu également au moment du point final ;-) ))
Je pense souvent à Pablo Picasso qui disait qu'il lui avait fallu toute sa vie pour apprendre à dessiner comme un enfant. J'espère de mon côté pouvoir tirer un jour de l'écriture cette « substantifique moelle » chère à Rabelais et à Dali, en apprenant encore à épurer.
Mais, tu le sais aussi bien que moi du fait de ta profession médicale, les termes scientifiques n'ont que peu de synonymes ; et j'ai bien en effet pioché çà et là dans nos vieux « Rouvière », mais aussi sur les dernières publications disséminées sur la Toile ;-)
J'ai craint d'en abuser parfois, je le reconnais volontiers ; mais dans le même temps, de nombreux lecteurs « non initiés » ou n'appartenant pas à « l'élite » m'ont certifié n'avoir pas été gênés, et m'ont plutôt remercié de leur « avoir appris des choses », comme toi pour l'ADN, seconde 9.
Bien entendu, si je devais réécrire ces premiers chapitres que j'ai mis en ligne il y a plus d'un an, le style s'en trouverait modifié, nourri de l'expérience accumulée depuis...
Ton image de la Grande Unification est parfaite, tes points de vue sur les histoires me plaisent, à part sans doute ton « feu de paille » concernant l'Égypte qui doit donner cette impression du fait de sa position d'ouverture ;-), et oui ce livre est riche en symboles et en niveaux de lecture. Quant à savoir si je suis l'avatar de Jivan, je pensais plutôt à l'inverse, mais va savoir... J'aime tellement cette idée de déconcerter que tu as ressentie !
Je t'invite à lire cet avant-propos qui ne figure pas dans la version que tu as téléchargée, et je te remercie encore beaucoup, Gérard, d'avoir pris la gentillesse et le temps de ce retour si pointu.
Amicalement,
Yann 

http://www.yannyoro.com/Prologue_a46.html

La lecture de cet ouvrage m'a passionné. Il est nécessaire de comprendre qu'il s'agit plus d'une expérience personnelle que d'une simple lecture ; je dirais même que l'on peut recommencer la lecture avec des approches tellement différentes, que l'expérience elle-même devient différente. C'est un ouvrage "romanesque" très atypique qui sort totalement des sentiers battus et j'admire sincèrement comment Yann Yoro a créé son univers, plus exactement recréé notre univers puisqu'en fin de compte la nature ultime de l'homme y est traitée. C'est un gros travail, probablement une réflexion de toute une partie de vie et je n'aurais qu'une chose à dire pour conclure ce bref rapport de lecture: chapeau bas Monsieur Yoro !